de Louise Bernard Pallas
16mm et 35mm sur vidéo, couleur, son, 16’, 2021
Une femme, un homme, une île. Une belle journée d’été, comme tant d’autres auparavant.
J’ai tenté de mettre en scène l’expérience irrémédiable de la perte de l’être aimé et l’impossibilité du deuil. Afin d’échapper à cette souffrance, le personnage principal a fabriqué une mystérieuse machine capable de projeter l’image de son amoureux, auprès duquel elle passe ses journées dans l’illusion la plus totale. Au cours du récit, les images projetées par la machine se détériorent progressivement grâce à différents procédés de prise de vue en 16mm et en sténopé 35mm.